Dans ce papier, thumb on examinera la relation entre la pollution atmosphérique et la croissance économique pour le cas
de deux pays de la région MENA, ailment à savoir l’Iran et la Tunisie à partir de l’année 1970 (entre 1970-2009 pour le cas des émissions de CO2 et durant la période 1970-2005 pour le cas des émissions de SO2 et de NOx). Notre étude s’effectuera notamment sur la base de la vérification de l’hypothèse de la Courbe Environnementale de Kuznets en utilisant des données de séries temporelles suivant une modélisation VAR. En tant qu’indicateurs de mesure de la pollution de l’air, order on choisira, les émissions de CO2 par tête (PECO2), les émissions de SO2 par tête (PESO2) et les émissions de NOx par tête (PENOx) (pour le cas de l’Iran). La variable mesurant la croissance économique est définie par le PIB réel par tête (PGDP). Pour le cas des deux pays, on a identifié une relation de cointégration entre la croissance économique et les séries des émissions polluantes. En Iran, l’hypothèse de la
CEK n’est pas confirmée pour le cas des trois relations (CEK-PECO2 - CEK-PESO2 - CEK-PENOx) où on a identifié une relation ayant la forme d’un N et à travers la schématisation la relation entre la croissance économique et les émissions polluantes. Les courbes semblent croissantes et monotones. En revanche, pour le cas de la Tunisie, la CEK est confirmée pour le cas des émissions de CO2 et SO2 par tête où la schématisationnous a montré une courbe ayant la forme d’un U-inversé caractérisée par une phase ascendante qui atteint un plafond quand le niveau du PIB est maximal pour passer à une nouvelle phase descendante où la qualité de l’environnement s’améliora au cours du temps, tandis que les résultats économétriques nous montrent l’existence d’une relation ayant la forme d’un N-inversé. En effet, le montant du PIB suivant lequel les émissions de CO2 ont commencé à décroitre est évalué approximativement à 2406.7$ soit l’équivalent de 6444.8$ (en parité de pouvoir d’achat (PPA) au prix constant de 2005). Le point tournant de la CEK-PESO2 suivant lequel la Tunisie a pu maitriser ses émissions de SO2 sera estimé à la valeur de 1528.5$, relative à un montant de 4093,2$ (en parité de pouvoir d’achat (PPA) au prix constant de 2005). Pour ce qui est de la direction de causalité, pour le cas des deux pays, on a identifié une relation de causalité au sens de Granger unidirectionnelle allant du PIB vers les différents émissions polluantes ce qui justifie que la mise en application d’une panoplie de mesures visant la protection de la qualité de l’environnement tunisien et iranien devrait être la priorité primordiale dans le contexte du développement durable et du renforcement de la croissance de long-terme.
Malgré son ouverture économique entamée depuis les années 80 le Maroc connait de fortes disparités économiques interrégionales : 6 régions seulement sur 16 contribuent à hauteur de 63.8% au PIB national, view larégion centrale, purchase celle du Grand Casablanca détient la part du lion avec 21, viagra 40mg 3%. Ces disparités sont accompagnées d’une hiérarchisation économique interrégionale : d’une part il existe quelques régions côtières relativement industrialisées, d’autre part, des régions intérieurs qui n’arrivent toujours pas à sortir de leur sous développement.
Une meilleur appréhension de ces disparités interrégionales passe par l’analyse du lien entre ouverture et localisation des activités économiques, c’est pour cette raison que nous avons inséré ce travail dans le cadre de la Nouvelle Economie Géographique, même si ses modèles théoriques ne fournissent pas de résultat clair quant à l’impact de l’ouverture sur les disparités Interrégionales (Catin et Van Huffel, 2004) la NEG offre un cadre d’analyse très pertinent.
Ce papier cite les différentes expériences en matière de PPP dans le domaine des infrastructures menées dans les pays émergents sur la période 1990-2006, clinic et les compare tantôt par secteurs d’activité, diagnosis tantôt par régions ou enfin selon les périodes (périodes d’avant et après crise, pharm etc.). Les secteurs couverts par cette étude sont l’énergie, les télécommunications, le transport, l’eau potable et la gestion des déchets solides.
Cette étude a permis de dégager quatre faits stylisés : les contrats de PPP traduisent à la fois de fortes disparités chronologiques, régionales et sectorielles, mais aussi et surtout une concentration sur des types spécifiques d’opérations telles les contrats de concessions et de privatisation.
Ces expériences ont été aussi couronnées par des succès aussi bien que par des échecs et on essaye par conséquent dans ce travail de dégager les causes de ces échecs et les leçons qu’on peut en tirer afin d’améliorer de manière conséquente la capacité des pays émergents à attirer les investissements privés dans les projets d’infrastructures.
La métropolisation est liée à la mondialisation des activités économiques et à leur concentration et spécialisation dans de grands centres urbains. La métropolisation entraîne des changements importants du tissu urbain et social et modifie les rapports entre agglomérations centrales et les régions qui en dépendent. La quête de compétence, de concurrence et de performance, des arguments tirés de l’économie urbaine et de l’économie de l’innovation,
devraient permettre de mieux comprendre les caractères fondamentaux de la concrétisation, de la création, de la captation et de la diffusion des compétences techno-urbaines. Le positionnement mondial des villes notamment les métropoles se traduit par une concurrence exacerbée où l’argument technologique est souvent posé comme étant discriminant et complémentaire de l’existence de fonctions de recherche, de services supérieurs aux entreprises, d’une infrastructure très développée, etc. Les débatsautour de ce problème ont permis d’établir une relation entre l’existence d’une métropole et la compétitivité. Les très grandes agglomérations apparaissent comme des points nodaux dans des réseaux d'activités directement liés au déploiement des marchés des firmes multinationales (services financiers, services avancés comme les services de conseil et les services juridiques, etc.). Ces activités jouent un rôle essentiel dans la dynamique des grandes agglomérations (par exemple : activités financières à Londres et à New York). C’est l’ensemble des activités en matière de production des biens et services dans les milieux urbains qui constitue l’humus sur lequel s’épanouit la croissance économique. L’analyse du lien entre la métropolisation et la compétitivité des territoires peut se faire par l’analyse de trois relations : métropolisation et innovation (Jaffé, Trujtenberg et Henderson, 1993 ; Fujita et Ishii, 1998 ; Carrincazaux, 2000 ; Audretsch, 2002), métropolisation et capital humain (Glaeser, 1997 ; Eaton et Eckstein, 1997 ; Black et Henderson, 1999) et enfin métropolisation et infrastructures (Castell : 1996, 1998 ; Venables, 2003 ; Jacobs, Ducruet and Langen, 2009).
La valorisation du patrimoine est un vecteur de développement local des territoires enclavés aussi bien sur le plan économique, social qu’environnemental. Cette mesure devient une alternative de développement. La région Sud-est tunisien est l'une des zones défavorisées de la Tunisie, confrontée à plusieurs difficultés pour suivre le mode de développement, mais caractérisée par une richesse locale très abondante. L'innovation et la valorisation touristique de cette richesse locale, la multifonctionnalité de l’agriculture locale et l'organisation des acteurs locaux sont une solution pour le développement de ce territoire.